Partie n°6 : Redéfinir nos priorités à long terme et la solidarité
Réorientation vers des valeurs collectives
Face aux crises climatiques, sociales et économiques, il est impératif de réorienter nos choix vers des valeurs durables et collectives. Cela nécessite de repenser notre rapport au confort, souvent perçu comme un but ultime, en privilégiant le bien-être de la communauté et la préservation de la planète.
Partie n°5 : Le sur-confort des ultra-riches, un exemple à ne pas suivre
Les excès des ultra-riches
Le sur-confort des ultra-riches incarne les excès du matérialisme dans sa forme la plus choquante. Pendant que la majorité lutte pour satisfaire ses besoins fondamentaux (se loger, se vêtir, manger, se soigner), une infime élite s’octroie des privilèges matériels démesurés, impactant gravement l’environnement et la société.
Déconnexion et impact environnemental
Les habitudes de consommation ostentatoires des milliardaires, telles que les jets privés, la multiplication des résidences secondaires sur-équipées et les méga-yachts, illustrent une déconnexion avec les réalités des individus ordinaires. Un jet privé moyen peut émettre autant de CO₂ en une heure qu’une personne moyenne en une année, montrant que cette quête de confort extrême est à la fois inégale et insoutenable.
Partie n°4 : La quête du confort : une nouvelle forme d’asservissement ?
Promesse omniprésente du confort
Dans nos sociétés contemporaines, la quête du confort s’est transformée en une promesse omniprésente, véhiculée dès l’enfance par la publicité et le marketing. Elle nous offre une existence simplifiée et rapide, où tout semble à portée de main : des livraisons instantanées aux technologies qui prétendent résoudre chaque problème. Pourtant, cette quête effrénée n’est pas sans conséquences, et elle soulève des questions fondamentales sur notre liberté, notre autonomie et la nature même de nos aspirations.
Partie n°3 : Leçons de sagesse des traditions antiques européennes et méditerranéennes
Harmonie avec la nature et solidarité
Les traditions anciennes des peuples germaniques, celtiques, romains, égyptiens et illyriens valorisent l’harmonie avec la nature, l’impermanence et la solidarité communautaire. Ces cultures avaient une vision cyclique de la vie, où le changement était célébré comme une force essentielle de l’existence.
Dans nos sociétés modernes, la quête de confort matériel a souvent éclipsé les valeurs communautaires. Ce désir de bien-être individuel renforce l’individualisme et entraîne la stigmatisation des plus vulnérables, tels que les chômeurs et les personnes en situation de pauvreté, souvent considérés comme responsables de leur sort. Le développement personnel, en prônant un contrôle total sur sa vie, véhicule l’idée que « ceux qui échouent ne font pas assez d’efforts », marginalisant davantage ceux qui peinent à s’en sortir.
Le confort, tout comme le bonheur, est une aspiration que l’on pourrait considérer comme universelle et inoffensive. Dans nos sociétés modernes centrées sur la consommation, cette valeur est devenue essentielle, car une vie réussie est souvent associée à un certain confort matériel (maison, travail, voiture…). Nous le recherchons dans nos possessions, habitudes et manières de penser. Cependant, cette quête façonne nos choix de vie, parfois à notre insu. Bien que bénigne en apparence, elle engendre des conséquences profondes sur nos comportements individuels et collectifs, nous rendant aveugles face aux crises globales et prompts à rejeter l’altérité (pluralité d’idées, de cultures, de différences). Le besoin d’un confort permanent s’oppose aux valeurs communautaires, solidaires et respectueuses de l’environnement des traditions anciennes païennes (germanique, celtique, illyrienne, égyptienne). Il heurte également les principes humanistes des Lumières et divers textes fondamentaux récents, qui soulignent l’importance de la dignité humaine, de la justice sociale et de l’empathie.
Lorsque j’ai débuté dans cette tradition avec mes amis du groupe Ta Noutri et d’autres, l’équation nous paraissait simple. Il suffisait de trouver la date du nouvel an et de faire correspondre avec les dates de notre calendrier grégorien pour restaurer un calendrier. Et la plupart des ouvrages grand public nous parlaient du 19 juillet, comme nous l’avons vu précédemment (article) sans nous préciser la source. Certes cette date (valable à une période donnée passée) permet de comprendre que en gros le lever héliaque de l’étoile Sirius avait lieu un peu après la mi-juillet à cette époque. Le grand public n’est pas netjeriste et n’a pas besoin d’une date exacte, car il n’a pas vocation à rassembler une communauté autour de fêtes communes porteuses de sens. Il a besoin de se faire une idée globale d’une civilisation pour sa culture générale. Cette date de nouvel an paraît si importante, une sorte de clef de voûte pour le reste du calendrier, que fréquemment les personnes qui cherchent à reconstituer le calendrier des anciens égyptiens pour un usage moderne ne se soucient pas des dates des fêtes de l’année. Leurs liens avec les cycles saisonniers, ainsi que leurs sens et leurs symboliques sont souvent négligés. Pourtant le calendrier des anciens égyptiens est étroitement associé aux cycles des saisons de sa terre natale, au cycle du Nil et aux mythes égyptiens, comme les calendriers païens ou polythéistes d’autres traditions avec leur époque et leur contexte local.
Né vers 17 avant JC Décédé en 21 après JC Fils de Segimerus, chef de la tribu des Chérusques Noms : Caius Julius Arminius ou Herman le Chérusque (Hermann der Cherusker)
Il est connu pour avoir anéanti trois légions romaines au cours de la bataille de Teutobourg, une des plus cuisantes défaites infligées aux Romains.
Contexte historique
L’empire romain connait une expansion sans précédent sous le règne de l »empereur Auguste. Afin de renforcer les frontières de la Gaule, Auguste initie plusieurs campagnes à l’est du Rhin pour dominer les tribus germaniques. Celles-ci ne constituent pas un peuple unifié.
Le calendrier des anciens égyptiens est loin d’être simple à restaurer à notre époque pour plusieurs raisons. Même si plusieurs personnes s’y sont essayés, aucune réponse à ce jour n’ai probablement parfaite. Car toute implique de faire des choix sans savoir avec certitude si les anciens auraient fait de même. En effet, depuis la fin de la civilisation égyptienne ancienne, certains des repères ayant servis à l’élaboration de ce calendrier ont évolué, ne permettant plus d’appliquer à la lettre les méthodes anciennes sans avoir à se poser des questions. Je vais tenter d’exposer ici les difficultés auxquels nous sommes confrontés en tant que netjeristes pour restaurer celui-ci dans un contexte contemporain.
Les premiers blogs sont nés sur Internet à approximativement au milieu des années 1990. A cette époque, le mot blog n’existait même pas. Il était plutôt question de journaux en ligne et de pages personnelles. A la fin des années 90, le terme weblog fait son apparition. Ce type de média a donc presque 30 ans. Avec l’essor des réseaux sociaux à partir d’environ 2010 jusqu’à aujourd’hui, il est assez courant de penser que ce type de média est devenu obsolète ou bien moins populaire, à l’instar des forums de discussions. Est-ce réellement exact ? Et qu’en est-il dans la sphère (néo)païenne ou polythéiste ? Devrions-nous définitivement abandonner ce média ou au contraire le réinvestir en 2024 ? Quelles sont les bonnes raisons d’investir du temps dans un blog pour parler de sa spiritualité ?
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